CHLOÉ JACOB

SOPRANO

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Le Tribut de Zamora, C. GOUNOD
3 et 5 mai 2024, Opéra de Saint Étienne
Direction : Hervé Niquet
Mise en scène : Gilles Rico
« Le rôle de Xaïma semble impossible, nécessitant la finesse et la douceur d’un soprano pourtant dramatique et doré d’une grande force volontaire. En endossant une conception colérique du rôle, Chloé Jacob relève le gant. Très investie dans le spectacle, elle en devient la vaillante capitaine. Impétueuse, tragédienne juvénile, elle tient la gageure jusqu’au bout. »
François Cavailles, Anaclase
« L’Opéra de Saint-Etienne a réuni une très belle distribution, très majoritairement francophone, et l’on se réjouit de constater qu’il existe à nouveau dans notre pays des artistes capables de défendre ce répertoire. Très investie dans le rôle de Xaïma, dont elle mime avec talent les paroxysmes hystérique, Chloé Jacob surprend par une voix susceptible tantôt d’une pureté presque enfantine, tantôt de couleurs beaucoup plus sombres. »
Laurent Bury, Concertclassic
« Le plateau vocal, assez jeune, se montre très homogène en qualité, la diction française étant d’un excellent niveau global. Chloé Jacob incarne Xaïma avec engagement et se montrant aussi convaincante en amoureuse, en esclave révoltée ou en objet d’expérimentation psychiatrique. Sa voix au timbre chaud et épais s’élève vers des aigus soyeux, descend dans des graves poitrinés moirés [...] »
Damien Dutilleul, Olyrix
« Chez les quatre protagonistes, les forces vocales et les tempéraments sont parfaitement équilibrés. La sincérité du jeune couple s’incarne d’une part dans l’engagement de la soprano Chloé Jacob (Xaïma). Son timbre rond et charnu sur toute la tessiture s’adapte aux situations tendres ou douloureuses qu’elle traverse ; ses participations aux ensembles façonnent la psyché évolutive d’une jeune femme résiliente. […] Quelle ascension pour ces deux artistes à l’aube de leur carrière ! »
Sabine Teulon Lardic, Première loge opéra
« Chloé Jacob s'avère touchante dans son combat vers la lumière, que sa Xaïma, omniprésente en scène, chante l'espoir, résiste à la menace, au viol, s'arc-boute ou s'évanouisse sous l'hypnose du pendule »
Jean-Luc Clairet, Resmusica
« Chloé Jacob, Xaïma, ira progressant. La voix est riche en couleurs, avec des aigus aussi lumineux que les graves solides. Toute la palette expressive est maîtrisée avec bonheur. L’amoureuse se muera en courageuse révoltée, forte de son amour et de celui de son pays »
Yvan Beuvard, Forum Opera
« L’oreille est en revanche à la fête avec une distribution vocale, presque entièrement francophone, qui se montre à la hauteur de l’événement. Chloé Jacob et Léo Vermot-Desroches forment un très crédible couple d’amoureux Xaïma-Manoël, respectivement soprano émouvante et à la fine musicalité, et ténor magnifiquement projeté, d’une qualité homogène sur l’étendue et à la diction claire »
Irma Foletti, Bachtrack
« Dans le rôle de Xaïma, la soprano Chloé Jacob se donne corps et âme à son personnage, équilibrant fragilité volontaire et force. Témoin de sa lutte contre la dépersonnalisation, elle marque son personnage par une voix autonome, cherchant à émouvoir autant par un timbre doux et suave dans les moments de répit que par une rage vocale saisissante, allant jusqu’à ses aigus qui allient musicalité et cris d’épouvante, illustrant un profond désarroi. »
Marjorie Cabrol, Classikeo
« Au plateau, on se réjouit d’une distribution constituée en grande majorité de chanteurs francophones, rendant le sur-titrage quasiment superflu. Dans le rôle central de Xaïma, Chloé Jacob montre une intelligente palette de couleurs. La voix n’est pas toujours puissante, mais l’interprétation force le respect. »
Jonathan Parisi, Avant-scène opéra
« Il faut également saluer la distribution réunie pour cette renaissance scénique de l’œuvre, et souligner l’excellence globale de la diction française. On salue la prestation scénique de la soprano Chloé Jacob qui tient fermement le rôle de Xaïma, donnant à voir une jeune femme à la fois fragile et combattive, passant de l’heureuse fiancée à l’esclave inflexible, l’amante prête à tout, la fille retrouvée, jusqu’à la femme forte qui, dans cette vision de Gilles Rico, tue elle-même son oppresseur avant de se réveiller dans sa chambre du XIXe siècle, un ciseau ensanglanté dans la main. Ainsi, si l’homogénéité de la projection n’est pas toujours présente tout au long de la soirée, on l’en excusera bien aisément compte-tenu de son omniprésence du début à la fin de l’œuvre (puisque tour à tour actrice et spectatrice de ce fantasme). D’autant plus qu’elle offre également de beaux aigus, des graves agréables, et des élans particulièrement convaincants. »
Élodie Martinez, Opera online
« C’était extrêmement bien chanté, par une distribution entièrement francophone. Il y avait dans les personnages féminins Chloé Jacob […] qui se sortaient d’une écriture vocale démente avec un aplomb et une maîtrise qui m’a bluffé… »
 
Richard Martet, rédacteur en chef d’Opéra Magazine, à l’antenne de Radio France pour l’émission le Casque et l’enclume.
La Caravane du Caire, M.A Gretry
24 et 26 avril 2022, Grand théâtre de Tours
Direction: Stéphanie-Marie Degand
Mise en scène : Marshall Pynkosky
« Chloé Jacob est une Almaïde impérieuse au chant racé et impressionnant de puissance et de justesse dramatique avec une belle amplitude sur l’ensemble de la tessiture. »
Resmusica, Steeve Boscardin
« Saluons enfin… l’excellente Almaïde de Chloé Jacob, favorite menacée, jalouse, vengeresse. »
Diapasonmag, Jean-Christophe Pucek
« Chloé Jacob (Almaïde) impressionne dans son air de fureur au III par sa justesse dramatique et sa technique solide »,
ConcertoNet, Florent Coudeyrat
« Chloé Jacob impressionne en Almaïde, soprano lyrique capable dagilité »,
Opera Magazine, Jacques Bonnaure
« La soprano Chloé Jacob est une belle Almaïde tant vocalement, la voix est ferme et assurée, que scéniquement car Jacob fait ressortir avec talent toute la colère et la jalousie dAlmaïde »,
Lyricspot, Hélène Biard
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